
Kugan Parapen tire encore une fois ses griffes. Le junior minister à la Securité sociale, remet en question la manière dont l’État collecte ses données et estime que les chiffres officiels sont loin de la réalité. Il prend pour exemple la situation des femmes sans abri, trop souvent sous-estimée selon lui.
Avec l’ouverture de la Maison Karousel à Belle-Rose, il rappelle que la précarité féminine reste un problème largement invisible et qu’une meilleure méthode de collecte est indispensable pour adapter les politiques publiques.


