
Le nombre des cas relatifs aux violences faites aux femmes est inquiétant et toutes les lois et les dispositions prises par les autorités sont rarement dissuasives.
Sur 4 127 cas enregistrés en un an, 3 042 sont des agressions physiques, d’où la gravité de la situation. Les Protection Orders, pourtant essentiels, sont freinés par la peur des représailles, selon Anushka Virahsawmy. Le cadre légal existe, mais son application demeure faible, laissant les femmes trop exposées.
Pour la directrice de Gender Links, le combat contre la violence doit continuer et doit aussi inclure un travail avec les auteurs desdites violences.


